Une semaine au poignet avec la Seconde Heure "Giant Stride" et voici mes premières impressions.
Passons aux spécifications : le boîtier de 42x13x47mm est robuste mais très portable grâce à la longueur relativement courte de corne à corne. Il fonctionne avec un mouvement automatique Sellita SW200. Visuellement, il a une présence au poignet puisque le style de boîtier supercompresseur semble généralement plus grand en raison de la lunette tournante interne qui donne au cadran une largeur plus importante.
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La seule chose que je pourrais penser à améliorer, ce sont les maillons de fin. Bien que le bracelet à maillons en H soit très confortable avec sa boucle usinée et ses 4 micro-ajustements, les maillons de fin femelles (peut-on encore les appeler ainsi ?) ne s'articulent pas complètement et s'arrêtent avant de pendre droit (référence à Seinfeld).
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Un détail mineur car la montre se porte toujours très bien avec ses cornes tournées vers le bas. Oh, et si vous êtes curieux du nom du modèle, c'est la technique où le plongeur fait un 'grand pas' depuis le navire pour entrer dans l'eau.
C'est bien illustré sur le fond de boîtier gravé aussi !
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